Je me souviens parfois de ces après-midi de juin
Je tuais des heures sombres adolescentes et boutonneuses,
Affalé et suant au fond d’un fauteuil en rotin,
Les mouches bourdonnaient au creux de mes aisselles humides.
Gildemeister, il s’app’lait Hans (bis)
Je tuais des heures sombres adolescentes et boutonneuses,
Affalé et suant au fond d’un fauteuil en rotin,
Les mouches bourdonnaient au creux de mes aisselles humides.
Gildemeister, il s’app’lait Hans (bis)
Ses cheveux étaient longs, enserrés dans un bandeau blanc,
Il ne souriait jamais, c’était un étrange chilien,
La démarche dandy, ne forçant jamais son talent,
Il avait le toucher du grand Vitas Guérulaitis.
Giildemeister, il s’app’lait Hans (bis)
Où es-tu maintenant, où risques-tu ta quarantaine,
Au son des travellers chèques ou celui des bandonéons,
J’ai largué ma jeunesse, je cours je cours à perdre haleine
Les Sampras Agassi ne me font plus aucun effet,
Les Sampras Agassi ne me font plus aucun effet,
Les Sampras Agassi ne me font plus aucun effet.
j'en chante
RépondreSupprimerTu as connu Gildemeister ? Non, tu es trop jeune ;-)
RépondreSupprimerc'est toi qui étais pas né, emplumé
RépondreSupprimerexcellent l'enregistrement
Comment ça j'étais pas né ? Je me rappelle très bien d'un match contre Vilas à la fin des années soixante dix.
RépondreSupprimerje rigolais
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